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DEUXIÈME ENTRETIEN

marie.

Ah ! je n’y tiens plus ! Que me fais-tu ? Je me livre à toi ; fais de mon corps tout ce que tu voudras !

caroline.

Eh bien, puisque ce jeu te plaît, écarte seulement un peu tes jolies cuisses. (Marie obéit.) Comme cela ! j’y suis, je sens ton clitoris… Ah ! friponne ! comme il se raidit, comme il frémit sous les caresses de mes doigts !

marie (après quelques moments de ce jeu).

Cousine !… cousine !… c’est comme dans mon rêve ! Quelle jouissance !… oh !… oh !… je fonds… ça coule !…

caroline.

Eh ! oui, tu décharges. Tu vois bien, petite niaise, que la chose est très-naturelle, et qu’il n’y avait pas de quoi t’effrayer. Tiens, vois mes doigts : tu me les as joliment arrosés ! Tu vas assez bien pour une commençante !

marie.

Avec une aussi bonne maîtresse est-ce qu’on