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L’ÉCOLE DES BICHES

martin.

Ah !… vite… vite… plus vite… tiens… tiens… je décharge !…

louisa.

Enfin ! c’est bien heureux !…

martin.

Quelle jouissance !

louisa.

Égoïste ! Ne sentais-tu pas que tu fatiguais cette pauvre enfant ? C’est elle qui était obligée de faire tout l’ouvrage. Vois comme elle a chaud. Viens, mignonne, reprends ta chemise : tu pourrais avoir froid et attraper du mal. Que fais-tu là ? tu te rhabilles donc tout à fait !

marie.

Oui, il est déjà tard, et Adrien, qui me croit à dîner chez toi, si je tardais à rentrer, pourrait vouloir s’assurer du fait. Ça ferait de belles affaires !

louisa.

Tu as raison, c’est plus prudent. Attends, je vais t’aider ; pendant ce temps, Martin va aussi