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SEIZIÈME ENTRETIEN
louisa.
Ahi !… ahi !…
(La douleur qu’éprouve Louisa lui fait faire un mouvement en avant, ce qui déloge Martin de son gîte.)
Maladroit… le voilà dehors !
martin.
Ce n’est pas ma faute : tu remues toujours.
marie.
Je vois bien que si je ne m’en mêle pas, vous n’en viendrez pas à bout. Tiens, mignonne mets-toi à genoux entre mes cuisses ; penche-toi sur moi, lève bien ton cul. Recommencez, Martin ; donnez un léger postillonnage d’abord, pour préparer la voie. Je vais maintenant vous faciliter l’entrée en écartant ses fesses. Présentez-vous… Poussez. Vous voyez, la tête y est déjà logée. Ne bouge plus, Louisa ; je vais en dessous te branler.
louisa.
Le plaisir que tu me donnes diminue un peu