rendre une partie des plaisirs enivrants que tu
m’as fait éprouver ; y consens-tu ?
Ton désir ne peut égaler le mien ! Jetons-nous sur le lit : nous y serons plus commodément… Mettons-nous tête-bêche, toi dessous, moi dessus, ta tête un peu plus élevée par l’oreiller, comme cela. Me voici à cheval sur toi, ta tête est encadrée dans mes deux cuisses, ta bouche et tes mains sont à portée de faire commodément le service désiré. Moi, par le bas, je me charge de toi.
Quelle perspective délicieuse ! Je vois depuis ta motte jusqu’à ton trou mignon. Attends que j’écarte tes poils ; en caressant mes lèvres, ils gênent l’exercice de ma langue.
Pas mal ! plus légèrement ta langue… plus vite tes doigts ; ne crains pas de les enfoncer ; très-bien ; fais-les toujours mouvoir ensemble. Ah !… ah !…