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L’ÉCOLE DES BICHES

marie.

Ne te tiens donc pas les jambes raides ; pose-toi naturellement. Les attaches de tes pieds sont fines et leur donne une grâce infinie ; ton mollet est d’une bonne grosseur et bien placé ; le genou petit et la cuisse ronde ; pas de ventre et des hanches pas trop fortes, que veux-tu de plus ? Tourne un peu ; voyons le derrière ! Quelle chute de reins ! quel joli cul ! Qu’il est bien fait ! comme il est blanc !

louisa.

Et ferme ! Tâte, ma chère. On dirait que tu n’oses y toucher. Pelotte, pelotte donc ! Ferme ! ferme !

(Marie, qui mourrait d’envie d’en venir là, ne résiste plus à cet encouragement. Elle ne se contente pas de caresser le cul de Louisa, elle le baise ; puis, coulant une de ses mains entre les cuisses, elle gagne en dessous les lèvres du con de son amie, et, y ayant introduit son doigt, elle sent son clitoris tout gonflé.)