avec cela nous avons de la bonne volonté, je
réponds du succès » Là-dessus, me prenant les
mains, qu’il baisait, il me demanda de nouveau
si je désirais sérieusement entrer au théâtre. Sur
ma réponse affirmative, il me demanda mon
nom et mon adresse. Je lui dis que je demeurais
chez ma tante et que je dépendais d’elle ;
que je pensais qu’elle ne s’opposerait pas à ce
projet ; qu’elle en serait plutôt contente, surtout
quand on lui parlerait de la certitude de
ma réussite. Il me promit donc de venir voir
ma tante le lundi suivant, et de prendre avec
elle des arrangements.
Cette fois, avant de remettre mon masque, je lui permis un baiser sur le front, puis, nous étant rajustées, nous lui serrâmes la main en lui disant adieu, et retournâmes rejoindre Charles, qui était inquiet de ne pas nous voir.
Soyez donc complaisant ! Menez donc vos maîtresses au bal !
Pouvais-je refuser de telles offres ! Tiens, ce