Page:L’École des biches, 1863.djvu/227

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
216
L’ÉCOLE DES BICHES


rant que vous ne refuseriez pas de nous faire compagnie.

le comte.

Comment donc ! mes toutes belles, douteriez-vous du plaisir que j’ai à me trouver près de vous. Merci de votre attention, je suis des vôtres ! (Allant à Adrien et lui tendant la main.) Monsieur l’artiste, vous nous négligez beaucoup ; pourquoi ne venez-vous pas nous voir plus souvent ? Sans votre gentille Marie, qui fort heureusement ne vous ressemble pas, nous n’entendrions pas parler de vous.

adrien.

Monsieur le comte, l’intérêt que vous me portez est le seul motif qui me prive du plaisir que j’aurais moi-même à vous visiter plus souvent.

le comte.

Comment cela ? Expliquez-moi…

adrien.

Grâce à vos recommandations, le travail que