mis en tête, soient oubliés, parce que nous
l’avons jetée dans les bras d’un beau garçon
qui cette fois, il faut le dire, ne lui a pas trop
déplu, mais ce à quoi elle n’avait jamais pensé
auparavant !
Ma théorie est basée sur le bon sens, et l’expérience m’en a prouvé la justesse. Je ne puis cependant m’empêcher de convenir que parfois les sens peuvent avoir raison de la meilleure résolution, et c’est ce qui me fait peur, car alors…
Alors comme alors, cousine. Est-ce que tu as vu jamais quelque femme mourir de la perte d’un amant, voire même d’un ami ? Non, n’est-ce pas ? parce que le temps nous fait oublier. Cela est pénible à penser, mais cela est. Il faut donc en prendre son parti, et c’est ce que je fais.
Tu as peut-être raison, pauvre amie ; mais