que reçoit Adrien double sa vigueur. Aussi
Caroline, ne pouvant supporter plus longtemps
une sensation si violente :)
Ah ! foutre ! assez !… assez !… Gredin, tu vas me faire passer !
Eh ! c’est bien heureux ! Il est temps que tu t’arrêtes. Tu jures comme une vivandière, tu me mords et tu me pinces. Ce n’est plus de la passion, c’est du délire.
Que veux-tu ? Ne m’en veux pas. Ce n’est pas ma faute. La vivacité des mouvements du godmiché que j’avais dans le con, ton habileté dans la masturbation de mon clitoris, et par dessus tout la vigoureuse attaque de mon cul par le gros vit de ton Adrien et sa copieuse décharge, tout cela m’avait mis la tête à l’envers. Aussi c’est un jeu auquel il ne faudrait pas souvent se livrer. La jouissance est si forte qu’elle userait bientôt les ressources du meilleur tempérament,