sur le matelas, t’attend avec impatience. Va
vite dans ses bras, et toi, ma belle… (Voyant
Marie qui, n’ayant pas l’habitude de se servir
du godmiché, ne peut parvenir à l’ajuster.)
Comment ! tu n’es pas encore armée ? Voyons,
je vais t’aider ; car sans cela nous risquerions de
commencer quand ils auraient fini. Enfin, t’y
voilà : ce n’est pas sans peine. À présent, viens te
coucher près de moi sur cet autre matelas ; en
montant à cheval sur toi ; je vais à ton exemple
m’introduire ce beau joujou moi-même, et me
suffire jusqu’au fortuné moment où Adrien
ayant tout à fait raccommodé Antonia avec le
membre viril, viendra me faire éprouver, je l’espère,
une jouissance inconnue.
(Sauf les rôles, qui sont changés, les groupes sont pareils au précédent. Antonia, très-fière et très-satisfaite de tenir entre ses bras le seul homme vers lequel jusqu’à présent elle se sente attirée, commence le jeu de si grand cœur, que deux postes sont lestement courues par elle. De son côté, Adrien ne veut pas paraître insensible