jupes de Marie plus haut qu’il n’est nécessaire.)
Voyez ce pied mignon, ces attaches
fines, cette jambe élégante, ce genou si petit et
cette cuisse si rondelette, et ce… Mais que
faites-vous donc, libertin ? Où sont vos mains ?
(M. de Sarsalle, excité par la vue des beautés qu’il vient d’apercevoir, perd sa retenue ordinaire, et se met sans scrupules à fourrager les appas de notre jeune fille, qui s’en défend d’abord.)
Je ne vous reconnais pas, cher comte ; c’est extravagant ! c’est du délire ! Cette pauvre enfant n’en peut plus. Ne voyez-vous pas qu’elle étouffe dans son corset ? Attendez, laissez-moi donc le temps de l’en débarrasser.
Oh ! non, Caroline, je t’en prie !
Allons donc ! Maintenant que le rideau est levé, voudrais-tu nous priver d’une partie du spectacle ?