Page:L’École des biches, 1863.djvu/119

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
108
L’ÉCOLE DES BICHES

(Marie, en fervente et vaillante sectatrice du culte de Paphos, reçoit les premiers assauts avec tant d’intrépidité, que l’introduction d’un si gros membre dans son cul se fait sans le plus petit mouvement de sa part, et que, si Caroline ne suivait des yeux le mouvement de l’opération, elle ne pourrait croire à la prise si subite d’un passage aussi étroit. Malgré l’âpreté de ses sensations, Marie n’a pas un instant interrompu sur son amie le service de sa langue et de ses doigts. Les plaisirs qu’elle donne, comme ceux qu’elle reçoit, ne font que stimuler davantage les mouvements de son derrière. Quant à Caroline, placée comme elle est, elle voit aller et venir ce superbe vit dans le trou mignon de sa cousine. Elle sent parfois frôler sur son front les deux compagnons qui se balancent au-dessus de sa tête ; aussi l’excitation est si forte, que malgré sa volonté de retenir sa jouissance, elle atteint la première le but ; mais, en bonne fille, elle n’en continue pas moins à augmenter de tout son pouvoir le plaisir de ses amis. Un frisson général, suivi de la cessation de tout mou-