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LES VOYAGES

ce qui concerne la poésie chinoise, feront bien de consulter un mémoire curieux de Fréret, composé sur les renseignements qui lui ont été donnés par Arcadio-hoang, lettré chinois, qui étoit en France vers 1710 ; il est inséré dans l’histoire de l’académie des inscriptions et belles-lettres.

Un extrait de ce mémoire, avec des notes instructives, se trouve dans le Hau-kiou-choaan, tome 4, page 77.

Voyez aussi du Halde sur la poésie sans rimes, tom. 3, édit, in-fol. pag. 290. L’éloge de la ville de Moukden, poëme, par l’empereur Kien-long, traduit par le savant Amyot ; Paris, 1770, in-oct. Les Mém. sur les Chinois, tom. 1, 2, 4, 6, 8, 9 et 13.