dant le plus beau temps de l’année ; l’agriculture y gagna aussi de grands moyens d’irrigation, qui ajoutent si puissamment à la fertilité du sol.
Ainsi fut détruite la cause de ces maladies, qui le long des rivières accabloient périodiquement les pauvres villageois ; et désormais ces belles positions qui dominent les eaux limpides et les vertes prairies ne présenterent plus un dangereux attrait au riche citadin qui souvent y trouvoit en automne, au lieu du repos et de la santé, la fievre et de longues souffrances. Cependant il restoit à combattre un fléau plus rare sans doute, mais aussi plus terrible. Jusqu’alors on avoit trouvé encore moins de préservatifs que de remedes à ces épidémies funestes, dont la cause est inconnue, et qui, sous divers noms, ravagent de temps en temps les deux