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l’encre, des nattes, des éventails, et des objets de tabletterie remarquablement laqués et de couleur d’or, des tissus de soie, etc.
La sériculture, introduite en Corée, à une époque fort ancienne, y a été longtemps florissante ; on prétend cependant que, depuis quelques années, la culture du mûrier a été abandonnée dans une partie du royaume[1].
La pêche est également pratiquée sur une grande échelle par les Coréens. Dans plusieurs provinces, elle constitue la principale source de l’alimentation du peuple.
- ↑ Voy., sur la sériculture en Corée, mon Traité de l’éducation des Vers à soie au Japon, édition du gouvernement, p. xi.
