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appelée chez les Coréens, parce que, vue de loin, elle est boisée au point de ressembler au fard (bleuâtre) avec lequel les dames chinoises se peignent la figure à l’endroit des sourcils. (Kao-li Tou-king.)

Ta-youeh-siu. Voyez Youeh-siu.

Tang-jin-tao « l’île des Chinois », dans la mer de Tsing-tcheou. « On ignore d’où lui vient son nom ; elle est voisine de la montagne aux Neuf têtes. » (Kao-li Tou-king.)

Tao-chan « la Montagne-île », située au sud de la principauté de Weï-chan.

Tien-ching-chan « le mont des Saints », au nord de Yin-tcheou.

Tien-sien-tao. Voyez Lan-chan-tao.

Tien-pao-chan « le mont de la Gemme céleste », à l’ouest du cercle royal de Kieng-kouï ou de la Cour. On l’appelle aussi du nom abrégé de Pao-chan.

Toung-youen-chan, montagne aurifère située à l’est du Houng-tcheou-chan.

Tchang-hoa-chan « la longue montagne Fleurie », au sud-est de Tieh-tcheou.

Tchouang-niu-tsiao « le Rocher des deux Femmes », est situé dans la mer de Tsing-tcheou. « Il est très grand, ce qui fait qu’il ne diffère point d’une île. Sur le devant, il y a une montagne qui, bien qu’elle ait des