Le cosaque lui demandant : « Est-ce vrai que vous pillez, bolchéviks ? » le vieux répondit « Oui, nous pillons ce qui a été pillé ».
Nous serons submergés si nous n’extrayons pas des coffrets tout ce qui a été accaparé, tout ce qui a été pillé pendant toutes les années d’exploitation déloyale et criminelle.
Bientôt nous adopterons au C. E. C. un nouvel impôt sur les possédants, mais vous devez opérer sur place, pour que chaque centaine de roubles accaparée pendant la guerre passe par les mains des travailleurs. Ce n’est pas les armes à la main que nous devons agir ; la guerre par les armes est finie, c’est une autre guerre qui commence.
Les forces des exploiteurs ne briseront pas notre révolution, si nous nous mettons à la tâche de façon organisée, car le prolétariat mondial est avec nous et marche à notre suite (18).
