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et, je suppose, la majorité des partis ayant quitté celle-ci dans l’intention d’adhérer à la IIIe Internationale, fassent un travail effectivement révolutionnaire et apportent une aide aux peuples exploités et dépendants dans leurs soulèvements contre les nations qui les oppriment. Nous devons le déclarer hautement, et c’est irréfutable. Nous verrons si l’on tentera de le démentir.

Ce sont ces considérations qui ont été mises à la base de nos résolutions incontestablement beaucoup trop longues ; j’espère cependant qu’elles seront utiles et contribueront au développement et à l’organisation d’un travail effectivement révolutionnaire dans les questions nationale et coloniale, ce qui constitue précisément notre tâche essentielle.

Messager du IIe Congrès, de l’Internationale, communiste, n° 6, 7 août 1920

Œuvres, Paris-Moscou, t. 31, pp. 247-253