force ne se résout pas en pensée, et si le sexe du décapité n’a pas conscience ?).
La Pendaison est une des fins de l’homme. Le cou s’étrécit pour un porte-Pipes. Mais ceux qui travaillent l’écume des vagues de la mer (en la calcinant, comme on sait, dans un moule de grés clos jusqu’à siccité) n’ont point songé aux anses des oreilles.
Le Pal (melius est principium orationis……) est abandonné jalonnant les temps de mâts dégréés. Et l’on dévissera prochainement ceux qui sont apophyses du charnel et prismatique toit de la Halle aux vins et de quelque autre chose que ce soit que l’on appelle toits, commeles aiguilles étendant après leur mort les langues des caméléons sur les reins le leurs cimeterres, — car ils attirent le feu du ciel.
Ainsi les choses obéissent à l’aimant répulsif de leur destination première, tels les trains que l’on a domestiqués comme les bœufs (déjà) et les rhinocéros, alors qu’il eût été plus beau de les ruer l’un sur l’autre en liberté dans une arène, comme l’Ichthyosaure et le Mégalosaure. N’eût-on pas mieux fait d’agrandir, pour en insuffler les hamacs, les gorges des Onocrotales ?
Tôt ou tard d’ailleurs leur seront substitués de « plus pratiques » engins locomoteurs. Car il est aussi absurde de vouloir tout mouvoir sur notre terre ronde par une mécanique circulaire (ce n’est pas imiter l’Orbe, mais Descartes) que de fleurir, parce qu’hommes, en chapeaux anthropomorphes… : DU BATON À PHYSIQUE : —