Vivre ; discontinu, impressionnisme sérié.
Être ; continu, car inétendu (on ne démêle pas plus les composants de que de ).
Conséquemment :
Quand l’Être devient le Vivre, le Continu devient le Discontinu, l’Être syllogistiquement le Non-Être. Vivre cesser d’Exister.
Vivre, rappelons-le, est entendu vie de relation, vie dans la boîte de guitare du temps qui le moule ; Être, vie en soi, sans ces formes anorthopédiques. Vivre c’est le carnaval de l’Être.
Un Vivant intersèque votre Pérennité : versera le vin de son Temps dans votre Cristal hors-de-forme. Il ne vous modifie possible que si — contrairement aux choses connues — une seule parcelle de lui vous oint (habitude peut-être de Mithridate). Assimilez-vous le, pour que votre crainte cesse.
Ou qu’il disparaisse. Car l’Être et le non-Être sont fort proches, communs qu’ils sont par un élément. Insinué en vous, il sera transmué en votre substance ; expulsé loin de vous, il sera cru votre excrétion.
L’Anarchie Est ; mais l’idée déchoit qui se résout en acte ; il faudrait l’Acte imminent, asymptote presque[1]. — Vaillant de par son nom prédestiné
- ↑ Toujours. Et pour cela nul autre souci que d’entretenir le poêle des Actes.