Page:L'Abeille de Fontainebleau - 1911-05-05.djvu/5

Cette page n’a pas encore été corrigée

chế par ces rideaux, a gauche, un autre Tartiste, complétement transformée et mor- ment teérale qui ne laisse nas de dou Il nous considérait avee triomphe El a valcur. V demeurera un document dene sont pas d'sccard sur Faocien ehemin loquel tant de voitures ont beisd des res Veailler agréer F'expression de mes sen- aussi des fruits, des légumes, des moulures soit de be aysages. Bien que 1e intre Grez-sur-Loing par P-E Villiers, La Nat E 1029 B), je trouve Uae route àaltels d'im fort cheval, les transportalent iendent sur ce point que e Dictonnaie ami le peintre Galland, professour à FE que. A deux heures, tout ce coin est dans rais reparlé à la peinture de moeurs si les rče Bo au molns danis le langnge.loeal), de l'eau Eh bien, non. Je ne suis jamais iemps de terminer la toile de cette ann de te hom sur chacun de ets por gneron à Dourron aves Antholae Lefrid, Pis hier; il ne reste plus qu'a nettoyer des Par contre, M. Arsène Alexandre, du Fj.ymbolise Seine et-Marnesous l'aspoct Les lettres patentes de 1721le disent esprisjournée à lautre, a meme besogne sans Supplément du 5 Mai 1914 à l'Abeille de Fontainebleau. N° 18. ser, je liendrai sous més youx ces herbes, à propos de ces deux artistes, ce que je | boucho aetuel de la routo de la Jeunese, qul res. N'est-ce pas une antre partie de ces mousses, ces lierres, ioutes ces plan- disais à propos de M. Bonnat Il est loua- est que le prolongemenit de la route de Vi la rante de la Génisse LES VILLAGES D'ART tes.. ble, il est nécessaire do chercher des ae- bers nn dola du carrefour des Dennofaelles. Or Nous montions, nous descendions, quit- cents hardis, des ressources nouvelles, mais le P. Dan dit expressement que la Croix Mer tant un trou pour un autre. Bientot nous Mais vraiment J'abuse, et je m'exeuse de vous apporter une réponse à la fois si Le Peintre P.-V. GALLAND à AVON il est utile de prendre des laborieux et des ciar était en la route de Bourron qui fait En 1885, nous venions, en famille, pas- ser quelques mois a Fontainobleau. Pro-tteignions une allée creusée en tranchée sincères anciens des leçons de méthode, searation du ehemin de Villers De lA, ce longue et si tardive C'est la faute des fesseur de sculplure à l'Ecole nationale des Arts Décoralifs, mon pere recevait, à titre te et à gauche de lits de mousses. d'atelier dans le château de Fontaineblsau, durant son séjour, une salle placée à la suite de la Galerie Henri II et au-dessOs d'u- ne autre salle oceupée de mêmo par son ami le peintro Galland, professouraTEV Reatte panée (au molns dana le langage loeal). Le samedi 13 mai, A 2 h, aura llea en la cole des Beaux-Arts Je n'oublierai jamais les heures dle tra- vail, de conversations et de reveries pas- lombre et en plein air. Dans l'allée qui ioatre aussi un Intérieur particu- in asseg freoaente sées dans le chateau, durant ees quclques passe au dela, je placerai un autre modele ierement remarquable Après s'étre essavé mois, entre noous quatre, mon pore, Gal- land et son fils Jacques, alors mon cama- rade à l'Ecole des Beaux-Arts, dans l'ate- lier de Géröme (1 Il me resto aussi, avee une précision me le terrain m'appartient derrière en mur, Gay. On ne peut migux elassor les 'objels Perches (Grands Feuillarda)? singulière, le souvenir dune visite à Avon. Fdeverai une sorte de bereeau od une dans la propriété que venait d'acquérir roisieme figure nue apparaltra dans l'om- Galland. Frappé par le caractbre décoratif bre de la verdare, et roflétés par le plein que l'a fait M. Tenré dans cet Inté pense hien que MM. Dupuich et Wadding du paysage de Fontainebleau, par ses val- air. lonnements de sol airx horizons énormes, entrecoupés de beaux massifs forestiers, le Aseriail, le visage lout Tremissant d'exal M Frank Bail, en constant progres de de Villiers actuolle, l'autro imaginant uee Mals si nogs avonaa anponcer une amé- maitre voulait se fiser dans le pays et y peindre du nu en plein air dans de grands paysages: mais il désirait s'installer le mieux possible, et l'exeellent artiste nous avait fort intrigués par le ton mystérieux de son invitalion, accompagnée du regard pénétrant qui lui était habituel Venez done à Avon.. Vous verrez mon Installation. Nous le trouvames, la palette en main, au milieu de la demi-obseurité d'une vas- de un mětre cinquante et bordée à droi- d'égalité dans la vaillance et de suite dans me semble, Identificatlon parfaite de la roate vacances! les idées. de la Jeunease avee le début de la route de Villlets. Cele-ei continue en drolte ligne, hors la fo Veuiller agréer l'expression de mes sen- timents distingues Voyez-vous une feimime nue étendue à eette place, avee ces fonds de vignes vierges . lei, expliqua-t-il soudnin d'un talogue, sa Messe de Saint-Hubert, trèsret, dans Jes bols de Recloses, pais de Vil- air confidentiel, j'aurai un effet magnifi- remarquée au Salon de lEpatant. J'en au que. A deux heures, tout ce coin est dans l'ombre de la maison. Je pourral done met- 0pérations du placement ne me l'avaient F. HERBET. M. Henri Tenré expose, affirme le ca- SUR LA ROUTE DE CHAILLY rais reparlé à la peinture de meurs si les llers. Au point od elle rencentre la vole fer- rče Bourron-Malesherben, olle porte le nom de 00L T ve se vamblai una tidun nu dans pas rendue pour le momeht invisible. Mais n gul rpond blen a dte d'un anelen che qul répond bley a l'idde d'un anelen che -préfeeture de Melun, l'adjudleation dea tra- vaux elaprès : nu qui, arrdté en dehors de l'ombrs por autrefois, assez timidement, dans eo genro. tée de la maison, se dressera au soleil. Ce n'est pas tout. Je vais abattre le mur sur une longueur de quatre mètres et, com- P. 460-461. Anelenne route de Villlen, Com- M. Tenré a peu à peu acquts une véritable ment une route qui seralt la route actuelle Antibes - Réfection de la chaussée pavéo autorité, et conquis, sans leur ressembler, des Ventra Risaud (proche ia reate de Ne a Chally-m-Blere (longueur 425 motres. - une place entre M. Lobre et M. Walter mogra) aurait-elle pu paaser aux Ventes-aux Travaux a l'entrepriao, 9,426. fr. 38; somme a

  • kot. Houte Nationale n 7, de Paris a

valolr, 663 tr. 62; total, 10,000 tr. et les rendre parlants, ni rendro plus vé ridiquement T'atmosphère d'une demeure, Il ya des idées qui sont dans Fair. Je Cost tres bien, évidemment. de suppri- - mer Phorrible pavé de Chailly-en-Blere, sur ton ne se sont pas coneertés, puisqu'ita lequel tant de voitures ont bris6 dos res ne sont pas dsceord sur lancien ehemin de Villiers, T'un pensant que ost la routeo, conme sun la place d'Armes de Fon- rieur qui demeurera un doeument de Il nous considérait avee triomphe EL I valeur. sorta, comme sur la place dArmes de Fon- Mais si.nous avons à annoncer une amé tation Imaginez-vous cela, mes amis.. A la porte, il nous sérrait les mains Revenez l'an prochain, revenez Vous che pour la soupe, et d'autres qul se li verrez.. .. Lorsque je revins à Fontainebleau, fitures, types nettement et franchement quinze ans plus tard, j'étais seul. Mon populaires, mais sans vulgarité, justesse des clarté de souplesse d'exéeution, de corliale combiaaison asz compliquée,A laqnelle lioralion, il nous faul, sur celte menie ronte et simple intelligénce de la vio, nous mon tre une servante occupde à tailler la mi je renvoie le loct ur. Mais. tous tendent sur ce point que le Dictlonnaire pegrettable. de la Foret a eu le tort de dir: que la deux s'en- de Chailly, regretter un acte véritáblement Toul le monde connalt la belle avenue qui réunit la foret aux promières maisons fe Chailly. Plantée de chaque coté d'une double rangée de peipliirs ml-sdenlaires, Voici ma réponse Dans. les letteca p elle prisente un coup d'oil charmant et of- vrent à la grave manipulation des Con- route de Villiers avait élé ouvorte en 1721. quinze ans plus tard, j'étais seul. Mon père, Galland . partis au grand mystere Quant A Jacques Galland, mon vieil ami, ades accessoires si savante et si heureuse Jentes sur arrits qui ordonnent le repeuple fre rété aus promenours un ombrage déli- retenu a Paris par sos beaux ot impor- tants travaux de peintre verrier, il n'haba- petits maitres d'autrefois ont fait d'irrépro foret de Fontainebleau et l'ouverture de mouvements et des espressions, exécution tants travaux de peintre verrior. it n'habi s mat rdne de foul ce que les ment des places vaines et vagucs de laclouy tait plus notre région. Aujourd'liui, je se- chable. voilà les qualités par lesquelles plusieurs routes dans ladite Fort, don- elevons: on vient d'abattre lous ces ar- rais incapable de retrouver dans Avon th ment des plaees vaines et vagucs de la ecicux. Or, et e'est contre cela que nous nous te salle encombrée de portants el de para- vents.

  • Hein? demandait-il, de vraios coulis- place od le spirituuel et enthousiaste Gal

ses de théatre.. Mais suivez-mol. Il soulevait un rideau et nous introdui- maine d'arl. sait dans un espace éclairé par un grand vitrage. En pleine lumière, s'épanouissnit un énorme panneau déooratif. - J'ai de la place, vous voyez, el, grå nard-Palissy, entre la place de l'Octrol et ce à mon organisation, je puis à volonté r'avenue des Carrosses, à l'extrémité de la d'un petit fait de la vie et de deux per- agrandir ou diminuer mon alelier. Outro Cave Coinart joignant le trritoire de Fon- ce jour de faco, J'ai, à droite, un jour bou- tainebleau. Elle a été, depuis le départ de chế par ces rideaux, à gauche, un autre r'artiste, complétement transformée et mor- ces excellentes quoique peu ambitiguses inées à Paris le 16 mars 1721 (imprimé bres, tous, vous lisez bien. je lis: U'ne autre route d'un bout à une étoile trouvons aucune de valable. land s'était préparé un si merveilleux do Ppeintures se recommandent à vous. Quelles que soient les raisona, nous n'en M. Josepli Bail apparait après cela beaude six routes, dans Tes Ventes Camidres, coup plus concentré, plus méditatif, fui traversera La Coulevraye ot le Marehals leur apogée, gonaien les eulfures dans les qu'on prenait souvent comme type du pein oOlivier jusqu'à un angle de la route lon- chanps voisins, ete. ete. tre chose Ses Servantes rangeant le lin- ge sont un de ses plus beaux tableaux; On dira que les arbres avaient atteint N. D. L. Rt. que la maison Galland était située rae Ber- Nous pouvons ajouter tre entralnant et habile avant toute au- de, oà ladite route fait angle passant au Nous voulens bien admettre la justesso de travers du Déluge et des Hérables jusqu'a toules ces inisons et les neceptons. Néan- moins, nous persistons à dire- qu'en ce L'Etoile des Ventes Cumidros est évi- sibele, où. avee raison, les arbres sont par- demment le carrefour actuel des Ventes Cu- tout protégés on a commis une grosse une route et l'ancion cheatin de Rectoses sonnages anonymes, se dégage une signi- fication genérale qui ne laisse pas de douce mier qui, d'abord de six routes est aujour- faute en los abattant tous en miême temps d'hui de sept, précisément à raison de l'é- In était faeile, it elait mdme fogique- lablissement de la route de 1721. L'angle si on voulait ou devait procéder à cette hé- formé par la route Ronde donro un rensel- catombe - d'y mettre des formes, c'est-a- ment toucher. Il règno dans celte cuvre un peu de sentiment qui rend émouvant deux, à sa droite et à sa gauche I m'est facile d'obtenir ainsi tous les éclairages, de face, à contrejour, ete, ete. Je peux des travaux d'art à la manufacture des Go- e de ssan eso gnement parlaitement précis. Entre ees dire de la mesure. On aurait di jeter à bas, e. A la suite du décis de l'artiste, profes Jes petits tableaux de Chardin lo Bene scur à l'Ecole des Beaux-Arts, direeteur meme éclairer mon travail par un vitrage belins, la propriété Galland, sise à la Haute belle toile blanche, à toutes les idées de iene, qui eit iustemont la route de Villiers. deux, ou qu'une rangle sur deux, eelle hor- deux points on ne pout fairo passer qu'une dle chaque edte de la route, qu'un arbre sur et mon modele par un autre. Dans un coin, une cheminée colossale ctobre 1894 ainsi que le petit atelier d'ar proprete, de Pepos, de vie hourouse, ou Tont L'interprétation des arrets n'est pas lou-dant les champs. On aurait planté ensuite lambait malgrẻ la saison. Devant le foyer, tiste sis en face, 16 bis, avenue du Che des nonnes, on bion des chatolaines mé- sur une longue barre de fer, pendalent min-de-Fer. et séchaient des vetements, chemises, gilets de flanelle, tricots, pantalons. Bercelle, fut mise en adjudication le 1r au moins paisible. Sont-ce des servantes ou jours aussi facile. Après la route Ronde, d'autres arbres et on n'aurait abattu les je comprends que la route nouvella fera derniers sürvivants que quend les jeunes un angle avee elle-memo et suivra la di-aura ient donné quelque ombrage, nagires, qui s'affairent ainsi dans le pro- fond logis tranquille, où leur blane eas- tume s'harmonise avee le lin, où leurs bliée sur la carte da Consil Gfntral, Elle mais on ne l'a pas fail Voila ce qui eut été logique et naturel,

  • Mon séchoirt expliquait Galland, que Au Salon des

tume s'harmonise avee le lin, od Jours reelion de la routs actuclle du Frévoir (ou- Champs-Elysées jupes et leurs piods baignent dans la lu rejoinl ainsi le vieux chemin de Recloos voulez-vous ? Quand je travaille, dehors ou à l'atelier, j'ai des suées. Si je ne chan- geais de linge toutos les hours, je tombo- rais malade. mière, ou leur buste et lour téte s'élèvent et iei je suis d'aceeord aves M. Waddinglo dans la fraiche pénombre? Elles sont, ou

qui propose d'identilior co vieux chemin Ave la route du Sophora. Apres avoir, comme amt des arbres, dé- ploré la disparition de ces nombreux peu- Je crojs done avoir eu te droit de don- pliers, Agés de 45 ans environ, qui ont fourni, rien qu'en hois façonés, des con- pour celle de l'ouverturo de a route de tnines et des eentaines de métres cubes de Les portes en ont été ouvertes samedi, semblent étre un peu tout cela, et ra- des esquisses, tirait nombreux sont déja les fidèles qui y rement M. Joseplh Baila mlous sugiré d'un bahut des pochades, des croquis, des 0at fait une première visite. Par devoir cette idée qui lui est chère, et qu'il rend ébauches. Je ne m'en liens pas à cela, comme vous voyez, faisait-il remarquer en dé main, des articles sur cette solennité ar signant son panneau décoratif, où la cor- rection dominait. J'étais né impression-oumises à leurs jugements, ils ne peuvent niste! Aht on ne me connait pas sous ce oceuper que d'un petit nombre; dans ces jour-la. Il nous regardait avec ses grands youx eités n'en ont que plus de mérite. bleus tout écarquillés d'enthousiasme, tan- dis que ses mains gesticulaient. Et il je- taines et des eentaines de métres eubes de naux parisions ont publié, dés le lendo- travaux de la maison. Quant aux meri Villiers; mals il est entendu que la partie planehes, sans parler des branches, décheta. tes de peinture, ils n'ont jamais éte plus de eetto route qui va du Bornag au car ete. constatona l'ingeniosité et la rapidi- refour des Ventos Cumier est antéricure te avee lesquelles a dé menée cette exploi- tistique. Etant donnés les milliers de toiles riches et mieux mis en euvre. el qu'elle a pu figurer sur un plan de 1718, tation industrielle. et que la partie qui va de la route Ronde En un mois, exaetement, tous ces beaux a la route des Grands Genièvres est pro- arbres et on sait s'ils étalent gros et nom- conditions, les artistes dont les noms sont De M. Louis Paillard, dans Le PPetita Journal bablement postéricura breux, ont été abuttus et façonnés. Aussi sommes nous heureux de reprodul- re les jugements suivahis d'écrivains aato- Miss. Anna Klumpke personnifie en une Quant à lancien chemin de Villiers quo Veiei eomment on a procédé : et d'esquisses pleines de variété, de fan- uer que le sileace relatif à MIle Richard, doux balancement de la brise dans les ar- taisie Tout ce que vous voyez-la est exéeutéO de souvenir, de chiet. Ainsi ce croquis pour sesIntérieurs et elle aurait hien français - du Pont-Neuf, vous le croyez sans doute du continuer une série dans laquelle elle habile homme des illustrations du monde sur un acte du 28 septombra 161L C'est mnchine a vapeur. Cela le 1" avril. pris d'en bas, du quai, à la hauteur du fit reussissait si bien; malbeureusement, très artistique : ce sera un petit jeu de société un marehé passé par Laurent Dumont, vi- de l'eau. Eh bien, non. Je ne suis jamais Oceupée par ses leçons, elle n'a pas cu le allé la, mes amis. En passant sur le pont, temps de terminer la toile de cette année ai remarqué la crânerie d'allure des pi- liers. Je me suis dit D'en bas, l'aspect plus que celui de Mile Sadler, peintre et doit étre superhe. avee Henri IV au bout, les arbres ici, le quai là. El voici mon croquis. Et tout le monde le recorinait. Et ce n'est peut-etre pas exact du tout. Mais qu'importet Ça se reconnait et ça plait. caro, conseille de chorcher, ear ils més de deux femmes qui s'enlacent. Arrangert il faut arranger! Je suis un arran geux . Oui, je sais, vous autres, les jou-langer-Adhémar, Doignmeau, Toudouze, Ha- nes (et il me regardait, vous trouvez qu'il seltine, Lauth, Peyrol, Desvignes, de Mme faut voir et copier, rien de plus Non Jeanne Franconville, Mile Herfeld. C'est faux! Nous devons extraire l'art de la nature, et eela par l'arrangement. Il nous montrait encore ses maquettes, de petites figurines de terre glaise penducs 8ion à des fils de fer, comme des marionettes. Elles lui servaient pour chercher les rae courcis des figures volantes. On y voyait examen des paysages. Bien que le premier aussi des fruits, des légames, des moulures soit de beaucoup l'ainé du second peintre Grez-sur-Loing , par PE Nlliers: e La Nat E 102 B. je Irouve Cas route à atels d'un fort cheval, les transportaient Quelques-unes de ces maquettes avaient éte peintes dans leur ton naturel; d'autres tuellement vivants, une belle unité, un taient dorées ou argentées. Mais passons au jardin. Au milieu d'un terrain défoneé, encombré s'impose à l'attention par quelques singu- donne les photographies des toiles de MM. de racines, de trones d'arbres, do mousses, larités, de constater qu'il no fait pas dle Tavernier, Raffaeli et miss Klumpke. il s'arretait devant une fosso earrée, béan- concessions ; mais eela est plus difficile le, de six mètres environ de profondeur lorsqu'il s'impose à l'estime par la sim- sur six de longueur, et maçonnée inté- plicité. Pourtant on peut ne pas faire rieurement. Voici mon atelier de plein air. Je puisque déjà l'on ne fait pas de concessions travaillerai la- dedans, installé au moyen à la singularité elle-ndme. Or, c'est quel- d'échafaudages à la profondeur que je vou- draj, et mon modele posé au bord du trou d'avoir consacré toute sa vie a dire des ou même dedans à la profondeur, lui aussi, choses justes et naturelles. que je voudrai. En cas d'humidité trop grande, j'aurai un počle au fond... J'obtien- ainsi, ni M. Antoine Guillenel non plus Je ancbens ehemins a travers la Foret. je plsserles était sans doute déja onvert Upe drai ainsi des choses superbes: des nus qui reçut de Corol des lecons de bon eevais de mon collegue, confrère ef ami, autre d'un hout sur le chemin d'Ury dans et des étoffes se silhouettant sur le ciel. sens et des goata sincères de nalure. Les M. Dupuieh, I'honorable maire de Recloses, l'obliquement d'une ancienne route do FE du Mée, n'a qu'une eause : son abstention bres de la forét à l'automne. On se rappelle les éloges qu'elle recueillit Tout d'abord on a construit sur le bord de n'ai émis qu'une hypothése el proposani la route une maisonnette en bois accoste de le recounaitre, non pas dans la totalité, Dans Un Vendredi au Salon des Artistes mais dans une partie de la route actuolle de deux roalottes où vivaient les ouvriers, des Ventes Higaud, n'appayant, pour ce'n, PU1S, on a dtabli sous un hangar une forte Aujourd'hui 4 mai tout est terminé de- de mettre un nom sur chacun de ees por- gneron à Dourron, aves Antlholne Lefraid. Pais hier:il ne reste plus qu'à nettoyer des traits, très ressemblants d'ailleurs, pelats narchand à Fontainebleau, par loquol le bra neliages et résidus les bas-cotés de la se trouvent groupées par un et son nom ne figure pas au Catalogue, pas avec une curiosité amusante. C'est là le clou ou tout au moins l'amusant jou- pieux et perclies de deux ventes assises premier s'engag à garder la bouchure de route. Il fallait un quart d'heure pour abattre . Kraveur, dont le talent Seine-et-Marne que sur la Cote d'Azur. est aussi connu en jou du Salon. Dans la sculpture, M. Léopold Maunie e, appele laNeale aux Perehes Or, odeà l'américaine, avee méthode of ensem- Dans la sculpture, M. Leopold Maunie la Vente aux Perchns, e'est la Vento Rignnd ble; chaque ouvrier faisant, d'un bout de la sement ot je n'ai pas manqué de le signaler rult, ni ourt ni heie besogne sAns Une femmo cotnimengait par enlever la terre pour dégager le trone: aussitot ello eidait la place à un fort gaillard qui, à coup J'ai encore à m'expliquer sur la route de hache, tailladait le pied au ras du sol. cisses et de violettes, dans un vase de bar des Primevères, ouverto en 1723 et sur la puis passai à l'arbre suivand: aussitot deux route de la Génisse, ouvorte on 172) ot 1721, 6baeherons arrivaient et a l'aide d'une longue M. Paul Tavernier a envoyé, nous l'a- d'après le Dietionnalre de la Foret, alors sele termihaient la besogne. Au bout d'un garo , conseille de chercher, car ils mé- ritent d'être vus, les envois de MM. Bel- au mot Ventes aux Perehes Ajoutons que Mile Germaine T ailleur ex- pose un tableau de roses de Nice, do nar- Continuons en pabliant ce que dit M. Arséne Alexandre des artistes de notre r botine bleue. - vons déja dit, Un coin de rendez-vaus que M. Waddington lei a trouvées an car- quart dhieure tout était terminé. Je considère qu'il fant citer les noms de chasse en foret de Fontainebleau M. J.F. refour des Tapisseries sur un plan do 1718 Copendant les seieurs débitaiont les ar- MM. Harpignies et Guillemet au debut d'un Raffaelli, La Grnande tue de Moret Gopendant les seieurs dóbitalon les ar- Citons encore Le lavoir eommaral do bres en plusinurs tronçons de môme lon- Dans l'arret du 2) janvier 1728 (Archi.gueur et deux ouvriers, à l'aide d'un fardier, foret en octobre par Marcel Bain. prendre du chemin de lecloses par dessusans tarder au langar des seies eireulaires, L'llustration qui consacre son der le Montoir justju'au rocher dudit Reeloses qui rontlaieat. jumeldes, ans désémparer. L'une équarrissalt d'abord les hilles de (et méme de presque tous les pintres ac effort raisonné et suivi distingue leurs deux nier numéro à la reproduction des ceuvres Je ne vois que la route des Primeveres à carrières. Il est fort aisé, lorsqu'un artiste les plus remarquables de cetto esposilion, qui celle deseription, trop succinets pufice bois poussdes devant elle à l'aide d'un char- S'appliquer. rio glissant sur rails; Tautre graee à un gaide, decoupait en quelques secondes des lanehes de méne épaiaseur provenant de la bille équarrie qui glissait aisément, a Une autre route à commencor dansTaller et au retour, sur des rouleaux de mé- Dans les lettres patentes du 10 mats 1721, je trouve Les Routes de la Forêt l'angle d'une alnclenne qui vient de TE. tal, de concessions non plus de celte manière, toile du Hols des Seigneurs, traverser les Deux oivriers prenaient les planches et dits bois et le Clos léron el une lizidre allaient les ompifer méthodiquement dans a des particuliers de Roctoses N'est-ce te champ voisin d'où, une fois sèches, après la moisson, elle seront dirigées sur Paris Mon cher Direeteur, que chose de valable et do méritolre que En meme temps que vous publiiez, au pas une partie ds la routa do la Géalsse, l Eaois de janvior dernier, les intéressants ar- allant de la routo d'Ury au Bornago? Le pour servir aux emballages. M. Harpignies n'a jamais cessé d'agir ieles de M. Waddington, de Reeloses, sur tronçon du Bornage au earrelour des Ta- Par celte courte description, on peut se rendre compte, tant le travail.ctait soutenu et bien organisé daas ees différentes équi- tne lettre familière dans laquelle il eriti- toile du Bois des Seiguesurs, pour traverser pes qu en une demi-heure, un gros arbre Ce sera splendidet. Plus loin, il nous introduisait dans un étonnante verdeur. Coux de M. Guillemet quait deux articles du Dictionnaire de la dans une partie du dit bais et aboutir sur tall abattu, débareassé de ses branches, trou cirealaire de un mètre cinquante de sont remarquables par la maturité, par la Foret : Volei sa noté : profondeur. lei, j'aurai des motils d'études char- mantes, lorsque, dans un an, toutes ces lente lumière dorée et où les vieilles ar- plantes reprendront de la force. Et, remar- chitectures se combinent heureusement un accea beateoup plus direet de Fontalne quez-le bien, avec mon modele à hauteur avec l'inaltérable jeunesse de la nature; bleau A Villiere que les deux voles aetuelle- d'horizon, à hauteur d'oeil. Sans me bais- deux envois de M. Harpignies attestent son plénitade; une grande Vue de Carcas- sonne , solidement ngencée, d'une exedl- Ronte de Vilsiers, D. 440. Je ne suls pas de closes N'est-ce pás la partie extreine do votre avis et Je pense que ce nom convient & Arveklle a la routa qul le porte et qul forme Poute actuelle du Prince loval l'estrémité du Clos Héroa et nas licière de ie de longueur, transporté aux ateliers bois à des particuliers entro Ury et Re- de scierie, équagri et débité en un grand selé de longueur, transporté aux atoliers de scierie, equagri et débite en un grand nombre de planches, aisseur et longueur. toutes de memes Veritablement cette manidre de faire iu- Une autre d'un bout au mina point tense, bien comprise, si suivie et si rapide, sur le dit chemin dUry et attenant le quari méritait a peine d'otre vue et sigbalée. en réserve du Hois des Selgnours, traverC puis un petit Orage suur la plage d'Equi- ment usitées, par Bourron ot par Recloses. hen, qui est d'une étonnante réussite, une de ces notations enlevées dans les meil- eier, sur la route de Bourron devant le terraln A des particuliers et au travers des Bar- leurs moments de vervo, Jo répéteral done du ur a la elble (Domet), o'estd-dire au de nolets Jusqu'aux terres et friches d'Ache- Cetait un modèle d'exploitation industrielle Neus savons qu'il extstalt une Croir AMer- sant le dit bois et dans un autre bols taillis et forestière, (1) M. Carrière était conservateur du chiteau Mon pire exécata le buste de son Sls. La irase E. TATIA Festaiseble r urget, inp. le