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L’HOMME


« Pour s’assurer du concours et de la présence de M. Bourassa, il faut s’adresser à LUI-MÊME… Mais lorsqu’on se servira de son nom sans son consentement, il dénoncera la supercherie. QUELLES QU’EN SOIENT LES CONSÉQUENCES pour les auteurs ».
( « Le Devoir », 3 août 1911)


LUI : — Pour m’avoir aux expositions agricoles, il faut s’adresser à MOI-MÊME.