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dans la même chambre, vêtu d’un caftan brodé, peigné à l’oiseau royal[1], et pressant sur son cœur son tricorne, se glissait le comte, maintenant mort depuis longtemps ; et voilà que le cœur de la comtesse a cessé de battre aujourd’hui.
Au bout de l’escalier, Hermann rencontra une porte qu’il ouvrit avec la clef, et se retrouva dans un corridor éclairé qui le conduisit dans la rue.
- ↑ En français dans le texte.