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tâmes diverses pièces, que nous avions d’abord classées au Livre des hommes, et qui, sans avoir été en principe destinées aux enfants, nous parurent pouvoir être détournées à leur usage, entre autres les chansons de métier. On sait que les salles d’asile et les classes des minimes de nos écoles sont à court de jeux mimés où le geste accompagne la poésie et le chant. Ces jeux constituent une gymnastique très-amusante et très-utile à l’école elle-même, à qui ils servent à tenir les enfants frais et dispos. Froebel a composé dans ce but maints exercices, accompagnés de chansonnettes qui font exécuter aux enfants des mouvements scandés et d’ensemble, imitant le travail des hommes de métier. Nous avons cru qu’il serait utile de proposer aux maîtres celles de nos poésies populaires qui ont trait aux divers corps d’état, comme la chanson de la Coupe au vin. N’y a-t-il pas lieu d’espérer que l’on trouverait là des éléments plus naturels, plus vrais, pour cette gymnastique du vers chanté et mimé, qu’il serait si important de pouvoir organiser définitivement ? Tôt ou tard l’école saurait, après des remaniements et une appropriation plus directe, faire rentrer ces chants dans son cercle d’action.

D’autres chapitres, surtout celui des Énigmes