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APHORISMES DIVERS



Ce qui nous frappe surtout dans les autres fragments, aphorismes ou simple réflexions, que Nietzsche consacre à la musique et aux musiciens, c’est l’aversion qu’il manifeste pour tout ce qui, de près ou de loin, touche au romantisme. Tous ces écrits sont d’ailleurs postérieurs au dithyrambe wagnérien de 1876. Très nettement, Nietzsche établit son point de vue à l’égard du romantisme, dans l’avant-propos du second volume de Choses humaines par trop humaines (1877).

« On ne devrait parler, dit-il, que lors-