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Et fait ces fulgurantes étreintes d’amour
Sans Amour.

Mais, de cette ivresse, triste comme la Mort,
Où les vivants damnés veulent fuir la Vie
— Ses deuils, ses crève-cœur, ses crimes, ses remords —
D’autres êtres vont naître — et l’odieuse Vie
Germera triomphante en ces baisers de Mort.

Par la clairière,
Blême de lumière
De lune,
La folle ronde
Tournoie et gronde…