Page:Krysinska - Intermèdes, 1903.djvu/54

Cette page a été validée par deux contributeurs.
14
NOUVEAUX RYTHMES PITTORESQUES


Mais, la mer — infini de flots purs
Où semble englouti tout l’azur —
Déferle sur le sol aride.

En larges strophes cadencées,
Elle chante — cette mer inspirée —
L’étendue l’écoute recueillie :

« Tressaillez, fleuves et forêts !
« Frémissez, terre nouvelle née !
« Je suis la Vie. »