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enfin, sont du côté de ceux qui luttent pour la lumière, pour l’humanité, pour la justice !


Vous m’arrêtez enfin !

— Que diable ! dites-vous. — Mais si la science abstraite est un luxe et la pratique de la médecine un faux-semblant ; si la loi est une injustice et la découverte technique un instrument d’exploitation ; si l’école, aux prises avec la sagesse du praticien, est sûre d’être vaincue, et l’art sans idée révolutionnaire ne peut que dégénérer, que me reste-t-il donc à faire ?

Eh bien, je vous réponds :

— Un travail immense, attrayant au plus haut degré, un travail dans lequel les actes seront en complet accord avec la conscience, un travail capable d’entraîner les natures les plus nobles, les plus vigoureuses.

Quel travail ? — Je vais vous le dire.