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sa maîtresse sur sa poitrine ; elle dut s’accroupir au-dessus de lui en lui tournant le dos. De cette manière, il a pu réveiller les restes de son libido.

Un autre entretient très généreusement une maîtresse, à la condition qu’elle mange exclusivement du pain d’épice. Ut libidinosus fiat et ejaculare possit, excrementa feminæ ore excipit[ws 1]. Un médecin brésilien m’a raconté plusieurs cas de defæcatio feminæ in os viri[ws 2] qui sont parvenus à sa connaissance.


De pareils faits arrivent partout et ne sont pas rares. Toutes les sécrétions possibles, la salive, la mucosité nasale et même le cérumen des oreilles sont employés dans ce but et avalés avec avidité, oscula ad nates[ws 3] et même ad anum[ws 4]. (Le Dr Moll, op. cit., p. 135, rapporte des faits analogues chez les homosexuels). Le désir pervers très répandu de pratiquer le cunnilungus provient peut-être souvent de velléités masochistes.

Pelanda (Archivio di Psichiatria X, fascicolo 3-4) rapporte le fait suivant.


OBSERVATION 70. – W…, quarante-cinq ans, taré, était, dès l’âge de huit ans, adonné à la masturbation. A decimo sexto anno libidines suas bibendo recentem feminarum urinam satiavit. Tanta erat voluptas urinam bibentis ut nec aliquid olfaceret nec saperet, hæc faciens.[ws 5] Après l’avoir bu, il éprouvait toujours du dégoût, avait mal au cœur et se jurait de ne plus recommencer. Une seule fois il éprouva le même plaisir en buvant l’urine d’un garçon de neuf ans, avec lequel il s’était livré une fois à la fellatio. Le malade est atteint de délire épileptique.


Les faits cités dans ce groupe sont en parfaite opposition avec ceux du groupe des sadistes.

Il faut classer dans cette catégorie les faits plus anciens que Tardieu (Étude médico-légale sur les attentats aux mœurs, p. 206) avait déjà observés chez des individus séniles. Il décrit comme « renifleurs » ceux qui in secretos locos nimirum theatrorum posticos convenientes quo complures feminæ ad micturiendum festinant, per nares urinali odore excitati, illico se invicem polluunt[ws 6].

  1. pour accomplir l’acte sexuel et éjaculer, la femme devait lui déféquer dans la bouche
  2. défécation de la femme dans la bouche de l’homme
  3. la bouche aux fesses
  4. à l’anus
  5. À seize ans, il satisfaisait son plaisir en buvant l’urine fraîche des femmes. Tant était grand son désir d’urine qu’il ne l’humait ni ne la goûtait, mais faisait comme dit.
  6. en des lieux secrets, certainement dans les arrières appropriés des théâtres, jouissaient de voir plusieurs femmes uriner ensemble, s’excitaient à l’odeur de l’urine, aussitôt se polluaient les uns les autres.