Page:Kock - Flon, flon, flon, lariradondaine - 1878.djvu/45

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Au cavalier lui faisant face
Son pied touchait le nez, ma foi.
Chacun applaudissait sa grâce
Et surtout son je ne sais quoi.

5

De quoi donc vivait cette dame ?
Menant un grand train de maison.
Courant au vaudeville, au drame
Rien qu’à l’avant-scène, dit-on.
Elle voyait, pour l’ordinaire
Venir son terme sans effroi !
C’est qu’alors son propriétaire
Admirait son je ne sais quoi.

6

Oh ! femme qui cherchez à faire
Des conquêtes matin et soir,
En vain vous passez pour nous plaire
Des heures à votre miroir ;