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haas ; son corps fut accompagné au cercueil par le peuple touché de compassion. L’électeur dit à Henri de Geusau qu’il voulait que les deux fils de Kohlhaas fussent élevés parmi ses pages. Le prince de Saxe, après avoir, non sans peine, recouvré ses sens, retourna à Dresde, épuisé de corps et d’âme. Ceux qui désirent en savoir davantage sur son compte pourront puiser de plus amples détails dans l’histoire de ce temps-là.

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