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Ô liane, fleur, grande herbe des bois,
Cache, couvre, mure, afin qu’on oublie
L’odeur, le contact, la vue et la voix
De leur race haïe !

Cendre grasse et noire, autel découvert,
C’est la pluie aux pieds blancs qui danse !
La biche met bas au si lion désert,
Nul n’en viendra plus troubler le silence ;
Le mur sans nom s’effrite, aveugle, flanc ouvert,
Dont nul n’habitera jamais plus le silence !