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LE SOLEIL ET LES ROSES


Que la coupole bleue au-dessus de nos têtes
Eclipsait en splendeur les rêves des poètes,
Que la ramée avait des murmures plus doux
Que des accords de lyre, et que vous étiez, vous,
Le poème vivant et la strophe très pure
Où chantaient les frissons de toute la nature !


Juin 1901