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L'AME DES SAISONS


Tel ce bois, c’est ainsi que je voudrais mon âme,
Devant un orient de nacre et de satin
Où brûle doucement l’Etoile du matin ;
Tel ce bois qui gazouille et qui roucoule, ô Dame,
En attendant qu’avec un tumulte vermeil
Il tressaille dans l’or sublime du Soleil !...


Mai 1905.