Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
114
L’AME DES SAISONS
LE REVEIL DU BOIS
En juin, deux heures du matin. Les premières blancheurs de l’aube nacrent l’horizon. Le bois craque dans la rosée.
VOIX DIVERSES
Pst ! — Ohé ! — Chut ! — Lapaix ! — Frr. — Silence ! — Coucou.
LE CHÈVREFEUILLE, s’étirant.
Assez dormi. Fleurons.
UNE PAQUERETTE, se mirant dans une goutte de rosée.
Tremble pas, mon bijou.