Page:Kinon - L’Âme des saisons, 1909.djvu/111

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
107
LE SOLEIL ET LES ROSES


Mais finissons de babiller.
L’aurore est comme une fournaise
De rouges roses et de fraises…
Je n’y tiens plus. Je dois siffler

Tout là-haut, dans l’azur, au faîte
De ce peuplier en fuseau,
Tremblant de feuilles et d’oiseaux…
Ohé ! c’est grande, grande fête !…


1905.