Cette page a été validée par deux contributeurs.
( 25 )
lui est défendu de penser à aucune alliance brillante ; il aime cette jeune fille, et cette union peut-être aurait fait leur bonheur à tous deux ; mais j’ignore si lady Goring qui doit tenir à ses anciennes idées de grandeur, consentirait à voir épouser à son fils une personne flétrie dans l’opinion publique. »
Cet entretien, commencé plusieurs fois, laissa dans l’esprit de Henry la conviction que sa tante était sincère dans ses expressions. Il communiqua ses idées, à Sir Charles qui rejeta d’abord tout ce qui venait de Milady ; mais Henry fut