Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 5 - 1808.pdf/28

Cette page a été validée par deux contributeurs.
( 24 )

révolter les sentiments qu’elle avait reçus de la nature, et qu’une trop belle éducation avait développés. Elle ajouta que sans cette tache imprimée sur sa naissance, elle aurait pu espérer que Sir Charles aurait consenti à la prendre pour compagne, et que n’ayant plus aucun ressentiment contre elle, elle aurait favorisé ce mariage d’accord avec milord Falcombridge.

» Charles Goring, dit-elle, est déchu de tous les droits possibles au rang qu’ont tenu ses ancêtres ; il ne peut se flatter de parvenir tout au plus qu’aux grades inférieurs ; il