Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 5 - 1808.pdf/169

Cette page a été validée par deux contributeurs.
( 165 )

sa carrière ! qu’on pense aussi au plaisir qu’éprouvaient Lewis et Barclay, dont le zèle avait été si utile, et à la reconnaissance de Milord envers tant de personnes généreuses aux soins desquelles il devait sa fille et son bonheur !

Lady Goring fut de l’avis de tous sur le secret qu’on avait gardé à l’égard de la coupable Adelina. Si l’on n’avait pas adopté ce prudent conseil, il devenait difficile de régler juridiquement les droits des deux filles de Milord. Amélia, ou du moins celle qui était connue sous ce nom, perdait les siens