Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 5 - 1808.pdf/142

Cette page a été validée par deux contributeurs.
( 138 )

gards expressifs ; ceux qui n’ont pas l’habitude de vivre avec elle, la considèrent, et ne peuvent la comprendre. Enfin, désespérée de lutter contre le malheur de sa situation, elle prend sir Claypole et milord Falcombridge par la main, et les entraîne vers la porte. Ils la suivent ; un rayon d’espoir brille à leurs yeux ; elle descend ; elle leur montre une joie extrême de ce qu’ils consentent à marcher avec elle. Milord frémit lorsqu’ils lui voient prendre le corridor étroit qui conduit aux caveaux : il ne doute point que sa