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que Claypole avait eu lors du procès du lord Goring, et qu’il avait fait donner à Caroline comme une consolation dans son malheur. Maclean ajouta qu’à Édimbourg il avait joué et perdu l’argent qu’il avait reçu, ce qui lui avait fait prêter l’oreille aux propositions d’Adelina, et consentir à lui livrer Caroline, qu’elle voulait, avait-elle dit, éloigner seulement de sir Charles Goring, afin de l’empêcher de faire un si mauvais mariage ; que depuis, Law l’avait fait venir chez lui, l’avait conduit chez milord Lewelyn, grand oncle ma-