Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 5 - 1808.pdf/109

Cette page a été validée par deux contributeurs.
( 105 )

des torts offensants pour un époux, me forças à lui causer des chagrins qui l’ont conduite au tombeau ! — En croyez-vous, Milord, une femme en démence que vous fûtes obligé d’abandonner à ses chimériques visions, et s’ensuit-il que moi, qui vous avais sacrifié ma propre réputation ; moi, malheureuse mère, qui ai eu à soutenir la perte de ma propre fille, je sois punie de toute la tendresse avec laquelle j’ai élevé celle de lady Henriette ? Ne voyez-vous pas que M. Melvil a bâti sur cette lettre une histoire que d’autres ont recueillie pour