Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 4 - 1808.pdf/62

Cette page a été validée par deux contributeurs.
( 58 )

gretta l’éloignement de Will et de Madely ! mais il ne manquait pas à Londres de ces êtres faméliques, propres à tout, hors au bien, et qui appartiènent à celui qui achète une ou deux de leurs journées. Elle savait en trouver au besoin, et cette fois, elle descendit jusqu’à les chercher elle-même. On enleva Caroline à lady Ireton, on la remit aux mains de Maclean, et cette fois encore tout semblait avoir réussi selon les vœux d’une implacable rivale. Milord Falcombridge, ne pouvant pénétrer la part qu’avait sa coupable épouse à l’enlèvement de Caroline,