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de Lady Ireton, elle comprit qu’il n’avait pas tout à fait abandonné ses projets ; ou bien que forcé peut-être à y renoncer par respect pour sa réputation extérieure, il pouvait bien lui assurer un sort auprès de sa fille, dont le mari venait de périr en Irlande, et qui seule et dans sa retraite, accepterait volontiers une telle compagne. Déterminée à tout pour arracher à cette jeune fille une semblable protection, mais obligée à garder quelque mesure, n’ayant plus à ses ordres Will et Madely qu’elle avait toujours si bien employés, elle je-