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aurait-elle retiré de ses prétendus artifices ? des persécutions et des outrages ! Vous parlez de sa vie errante ! eh ! pourquoi ne trouve-t-elle pas un asile qu’aussitôt on n’ait soin de l’en arracher ? Je veux la mettre en un lieu où elle n’ait à craindre ni la haine des hommes ni la misère ; en attendant, je la conduirai demain chez mistriss Claypole ; la santé de notre malheureuse sœur décline visiblement ; la détention de son fils lui a fait éprouver une crise violente : les soins de Caroline adouciront le peu d’instants qui lui restent à