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protecteur, ne la flatta d’aucune espérance, et la laissa dans cette situation, où l’on n’est ni satisfait ni mécontent d’un homme duquel on peut espérer ou craindre. Il se proposait de quitter bientôt l’Écosse, presque entièrement pacifiée ; et comme on croyait son retour plus prompt qu’il ne le fut en effet, sir Henry Claypole l’attendait pour joindre sa troupe à celles qu’il ramenait à Londres. Le lendemain de l’incendie, il reçut l’ordre d’avancer du côté de Worcester, où se ferait la jonction des différents corps. Henry se prépara au départ et ne laissa à