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croyait sûre que de la mort de la Galloise, et quant à Caroline, elle pouvait être encore vivante. Elle se contenta donc de donner une partie de cet or, au poids duquel on mesure les crimes, et remit le complément de ses promesses au temps où elle serait assurée de n’avoir plus à craindre la présence de Caroline. Elle se montra même sévère aux yeux de son complice ; elle osa dire que le meurtre et l’incendie n’avaient pas été ordonnés par elle ; qu’elle ne voulait que s’assurer de la liberté de Déborah, jusques au moment où elle aurait privé