Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 3 - 1808.pdf/245

Cette page a été validée par deux contributeurs.
( 241 )

Le brave jeune homme s’abandonna un moment à sa joie d’avoir encore une fois sauvé l’amie de lady Amélia. Mais il ne put répondre à toutes les questions dont l’accabla Caroline, quand la surprise et la terreur eurent fait placé à un sentiment plus doux. Il fallait qu’il retournât en diligence, il fallait qu’il reparût afin d’éviter le soupçon. » Je vous laisse, lui dit-il, entre les mains de ma belle-mère ; elle n’en a que le nom, car je lui dois autant que je devrais à celle qui m’a donné le jour. Gardez qu’on ne vous voie… Un mo-