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duite. Peut-être suis-je fille de Deborah ; mais alors son époux est mon père ; elle a des parents dans le pays de Galles ; ses parents sont les miens, et quoique mes souvenirs ne s’accordent point avec ce que vous m’annoncez, malgré quelques indices qui peut-être s’accordent encore moins, je ne demande à Dieu que de m’indiquer une famille qui veuille me recevoir, et à Milord Protecteur, que de me rendre à cette famille, quelqu’obscure et misérable qu’elle puisse être ; si cela est vrai… — Encore un doute sur ce que j’ai la bonté