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jets qui l’entourent. Un flambeau à la main, elle se détermine à parcourir ce domaine ; à droite, vis-à-vis de la cuisine, elle voit un joli salon à manger, orné de quelques tableaux de prix ; plus loin, un salon au milieu duquel est une table couverte d’un tapis vert sur lequel elle voit épars quelques morceaux de poésie, les uns achevés, les autres commencés ; quelques essais de musique dans le même désordre, et mêlés avec des livres ; sur les chaises, une basse de viole, un théorbe et un luth : « C’est ici, dit-elle, la